[RISITAS] From pulco to addict aux tarifées
L’auteur
Auteur: mao-khey
Topic: [RISITAS] From pulco to addict aux tarifées
Le Risitas
Yo les kheys !
Ceci est mon mémoire sur ma courte expérience des filles de joie. Il sera alimenté au fur et à mesure que j’aurais de nouvelles péripéties.
Tout d’abord je vais me présenter.
Disons que je m’appelle Maokhey
, petit asiatique full pulco à 24 ans , au début de cette histoire.
Il faut savoir que j’avais aucune expérience d’aucune sorte avec les meufs. Rien, Nada, quechi, voilou.
J’avais raté le train de l’amour dans la période collège/lycée et il semblerait que ce soit fatal pour le restant de la vie.
Draguer en soirée ce n’est pas possible étant donné qu’aucun de mes potes n’en fait jamais.
J’ai déjà tenté les applis de rencontres mais à cause du bug Tinder , je n’ai jamais rien obtenu de concret.
C’est ainsi que j’abordais l’été qui allait changer ma vie…
Chapitre 1 : Le commencement
Cet été là nous sommes partis à Amsterdam avec 2 de mes potes, Christophe et Jack
.
Christophe est quelqu’un de cool même s’il a l’air toujours défoncé en apparence.
Jack est un petit psychopathe mais il a pas mal d’expérience avec les meufs.
Bien évidemment, on pensait déjà aux délires qu’on allait avoir en fumant des joints et en se promenant dans le quartier rouge. On imaginait pas à quel point la réalité va dépassé tous ce qu’on avait imaginé…
Arrivé sur place en début de soirée et après avoir investi l’hôtel, nous sommes sorti immédiatement pour explorer la ville comme des conquérants de l’an mille en terre inconnue.
La ville est vraiment superbe. J’ai rarement vu une ville aussi propre en France. Le seul point casse-couilles était les vélos. Des dizaines de cyclistes qui attendent que le feu passe au vert à chaque carrefour. Des cyclistes qui semblent prioritaires sur les piétons. On a manqué de se faire tué plus d’une fois dans cette ville d’écolo à pédales.
Bref, à peine une ou deux heures suite à notre arrivée, nous nous dirigions déjà vers un coffee shop pour découvrir la flore locale sans perdre plus de temps.
Dans ce domaine c’est Christophe le spécialiste. C’est donc lui qui nous a acheté la bonne came après une longue discussion avec le cofeeman.
Ensuite, nous sommes allés nous installer sur la terrasse pour fumer le joint lorqu’on s’est rendu compte qu’on avait oublié d’amener un briquet.
Heureusement, par chance il y avait une épicerie juste en face, où Christophe est allé acheter un petit briquet éco+
vendu par un bon père de famille qui semblait être une chance
pour les Pays-Bas.
Bien installé, en triangle, avec les bons outils, nous avions commencé nos méfaits. Chacun tiré un petit peu puis c’était au tour du suivant.
J’ai juste oublié de vous préciser un petit détail. C’est la première fois que je fumais, tout court. Du coup, à chaque fois que je tirais à peine sur le joint, j’avais une quinte de toux de la mort.
Au bout d’un moment, Christophe me dit :
“Mec, inspire bien, là tu recrache presque tout.”
Ce que je fit immédiamal. Je sentais la fumée qui emplissait mes poumons tout en continuant à toussé. Au bout d’un moment, je vis mes 2 accolytes me répéter les mêmes conseils tout en étant mort de rire.
Ne comprenant pas, je leur demandait :
“Pourquoi vous rigolez ? Vous vous foutez de ma gueule ?”
Mais eux me répondaient, toujours hilare :
“Non, continue tu vas voir.”
Peu convaincus, je continuais tout comme eux jusqu’à ce qu’on atteignent le bout du joint.
Ce n’est que quelques minutes après que j’ai commencé à ressentir les effets du bordel. Le coeur léger et la joie qui m’emplissait.
Alors, nous nous sommes lever avec mes deux comparses pour reprendre notre ballade comme si de rien n’était.
Mes potes devant discutant de tout et de rien, et moi derrière eux silencieux. Ce n’est qu’après plusieurs minutes de silence que Christophe m’interpella :
“Alors maokhey, comment tu te sens ? T’as pas dit un mot depuis tout à l’heure.”
Je lui répondit :
“Ça va”
Jack enchaina :
“Le mec a fumé son premier joint et il dit juste ça va. Aller dit quelque chose !”
Et là miracle, je lui répondis :
“Tu veux que je disse quoi ?”
Mais au moment où je lui répondais, j’avais un grand sourire. À partir de cet instant on racontait n’importe quoi tout en étant mort de rire.
Au bout d’un moment on arrivait plus à parler, on ne faisait que de rigoler. On avait mal aux joues mais nos muscles n’étaient pas près de se détendre.
C’est là que mon pote Jack pris l’initiative :
“Bon, les gars vous êtes pas chaud on va faire un tour au quartier rouge ?”
Sweet ?